1. A youth goes forth to see the world, he bids his home goodbye,
He leaves his loved ones while he roams beneath a foreign sky ;
Though all may charm him for a time, the scenes and cities gay,
Yet in his thoughts he wanders back to dear ones far away !
He sees the roof that sheltered him, the porch with roses twined,
His mother waiting at the gate with smile so true and kind,
He knows there's but one resting place whereever he may go,
And something whispers in his heart with accents soft and low ;
There's no place like home, no matter where it be,
Whether mansion or a dingy hut, or out upon the sea ;
Where father and mother and loved ones are, that is the place to be,
And you'll find as you roam, o'er the land and the foam,
There's no place like home.
2. With health and wealth at his command, he roams the world around,
But cannot bury with all his gold, the joys at home be found.
'Though pleasant faces he may see, there's no one that he knows,
And something still his heart will miss, no matter where he goes.
The birds, the flow'rs, are not the same, and sadly they recall,
The little cot he left behind, now dearer far than all.
The stately halls, though beautiful no lasting joy supply,
And as he gazes on the scene, he murmurs with a sigh :
Traduction
1. Un jeune part à la découverte du monde, il dit au revoir à sa maison,
Il quitte ses proches alors qu'il erre sous un ciel étranger ;
Bien que tout puisse le charmer pour un temps, les scènes et les villes sont gaies,
Pourtant, dans ses pensées, il retourne vers des êtres chers au loin !
Il voit le toit qui l'abritait, le porche aux roses entrelacées,
Sa mère attendait à la porte avec un sourire si vrai et si gentil,
Il sait qu'il n'y a qu'un seul lieu de repos partout où il peut aller,
Et quelque chose murmure dans son cœur avec des accents doux et graves ;
Il n'y a pas d'endroit comme chez soi, peu importe où il se trouve, (traduction littérale)
Nulle part, on est mieux que chez soi, peu importe où l'on se trouve (plus juste)
Qu'il s'agisse d'un manoir ou d'une cabane crasseuse, ou sur la mer ;
Là où se trouvent père, mère et proches, c'est là qu'il faut être,
Et vous découvrirez en parcourant la terre et l'écume,
Il n'y a pas d'endroit comme chez soi.
2. En bonne santé et des richesses à sa disposition, il parcourt le monde,
Mais il ne peut pas enterrer avec tout son or les joies de la maison.
"Bien qu'il puisse voir des visages agréables, il ne connaît personne,
Et quelque chose qui lui manquera encore, peu importe où il ira.
Les oiseaux, les fleurs, ne sont pas les mêmes, et malheureusement ils se souviennent :
Le petit lit qu'il a laissé derrière lui, maintenant bien plus cher que tout.
Les salles majestueuses, bien que belles, ne procurent aucune joie durable,
Et tandis qu'il contemple la scène, il murmure en soupirant :