Paroles
1. The ash grove how graceful, how plainly 'tis speaking
The harp through its playing has language for me.
Whenever the light through its branches is breaking,
A host of kind faces is gazing on me.
The friends from my childhood again are before me
Each step wakes a memory as freely I roam.
With soft whispers laden the leaves rustle o’er me
The ash grove, the ash grove alone is my home.
2. Down yonder green meadow where streamlets meander
When twilight is fading I pensively roam
Or in the bright noon tide in solitude wander
Amid the dark spaces of that lonely ash grove.
‘Twas there while the black bird was cheerfully singing
I first met my dear one the joy of my heart
Around us for gladness the blue bells were springing
The ash grove, the ash grove that sheltered my home.
3. My lips smile no more, my heart loses its lightness;
No dream of the future my spirit can cheer.
I only can brood on the past and its brightness
The dear ones I long for again gather here.
From ev'ry dark nook they press forward to meet me;
I lift up my eyes to the broad leafy dome,
And others are there, looking downward to greet me
The ash grove, the ash grove, again is my home.
Traduction
1. Le bosquet de frênes comme il est gracieux, comme il parle clairement
La harpe par son jeu a un langage pour moi.
Chaque fois que la lumière à travers ses branches se brise,
Une foule de visages bienveillants me regarde.
Les amis de mon enfance sont de nouveau devant moi
Chaque pas réveille un souvenir alors que j'erre librement.
Avec de doux murmures chargés, les feuilles bruissent sur moi
Le frêne, seul le frêne est ma maison.
2. Là-bas là-bas verte prairie où serpentent les ruisseaux
Quand le crépuscule s'estompe, j'erre pensivement
Ou dans la marée lumineuse de midi dans la solitude errer
Au milieu des espaces sombres de ce bosquet de frênes solitaire.
C'était là pendant que l'oiseau noir chantait joyeusement
J'ai d'abord rencontré mon être cher la joie de mon cœur
Autour de nous pour la joie les cloches bleues jaillissaient
Le frêne, le frêne qui abritait ma maison.
3. Mes lèvres ne sourient plus, mon cœur perd sa légèreté ;
Aucun rêve de l'avenir mon esprit ne peut se réjouir.
Je ne peux que ruminer le passé et sa luminosité
Les êtres chers que je désire à nouveau se rassemblent ici.
De tous les recoins sombres, ils se précipitent à ma rencontre ;
Je lève les yeux vers le large dôme feuillu,
Et d'autres sont là, regardant vers le bas pour me saluer
Le frêne, le frêne, c'est encore ma maison.