Paroles
Ce n'est que le chant d'un marin qui, le soir,
Le fredonnait à son bord
En quittant le port.
Ce n'est qu'un refrain qu'il chantait plein d'espoir,
Souvenir de doux aveux
Murmurés à deux
SI l'on ne s'était pas connu,
Jamais mon coeur, jamais mes lèvres
Non, jamais n'auraient entretenu
Le souvenir de nos heures de fièvres.
Je n'aurais pas, lorsque je pars,
Besoin de revoir ton regard,
Je n'aurais pas, quand je te vois,
Ce petit tremblement d'émoi
L'amour ne serait pas venu
Si l'on ne s'était pas connu !