Certains préféreront à "Et quand vient le soir" la phrase "Et le soir encore", cela ne pose aucun problème. On entend parfois la répétition de la dernière phrase "Quand sonnera-t-on la mort du sonneur". Je déconseille fortement cette pratique dans le cadre d'un chant interprété en canon. Cette répétition cassera la dynamique du canon.
Deux versions antithétiques au niveau du sens. Malédiction d'un côté, bénédiction de l'autre. Mais si j'ai plus entendu la première, la dirais que les paroles de la seconde ont ma préférence. On trouve aussi parfois pour titre seulement Le carillonneur.
Ces deux partitions sont gratuites.