Paroles
1. L'autr' jour, je me promène
Le long de ces grands bois,
Dans mon chemin rencontre une rare beauté
Que je serais donc m'nais' si j'pouvais lui parler.
2. J'me suis rapproché d'elle en voulant l'embrasser
Mais la fille était jeune, ell' s'est mise à pleurer.
Moi, j'ai pris pitié d'elle et je la laisse aller.
3. Quand ell' fut dans la plaine, ell' s'est mise à chanter.
Quel vaillant capitinae ! Ah, le fameux guerrier,
Pour les pleurs d'une belle, il la laisse en aller.
4. Ah ! revenez la bell' dedans le bois entrons,
J'ai perdu mon épée, aussi mon ceinturon,
Ah ! venez à mon aid', bell', nous les chercherons.
5. Oh non ! répondit-ell', tu voudrais m'rattraper.
Quand tu tenais la caille, il fallait la plumer,
Quand tu tenais la belle, il fallait l'embrasser.