Il est divorcé de la montagne et de la forêt
Quel printemps sec, quand la détresse nous a pressés!
Le printemps coulera, alimenté par la pluie,
Jamais plus de joie ne nous semble, Duncan pas de lendemain.
La main du moissonneur choisit des épis de maïs bien mûrs,
Notre chanson de deuil se plaint de la jeunesse épanouie.
Le vent d'automne entraîne les feuilles, le jaune, le flétri,
Il fleurit notre fleur comme le mildiou, il se dessèche.
Vos pieds fugaces, vous conseillez en détresse,
Vous êtes pauvre au combat, quelle est votre sommeil?
Comme la rosée sur les montagnes, comme la mousse sur la crique,
Comment les blas sur la vague sont toujours divorcés
Vidéo
La partition Coronach
Téléchargez la partition de Coronach de Franz Schubert.