Paroles
Ils s'en vont ces rois de ma vie, ces yeux, ces beaux yeux dont l'éclat fait pâlir d'envie ceux même des cieux.
Dieux, amis de l'innocence, qu'ai-je fait pour mériter les ennuis où cette absence va me précipiter ?
Elle s'en va, cette merveille, pour qui nuit et jour, quoique la raison me conseille, je brûle d'amour.
Dieux, amis de l'innocence, qu'ai-je fait pour mériter les ennuis où cette absence va me précipiter ?
Les affligés ont en leur peine recours à pleurer : mais quand mes yeux seraient fontaines, que puis-je espérer ?
Dieux, amis de l'innocence, qu'ai-je fait pour mériter les ennuis où cette absence va me précipiter ?