Paroles
Une aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants
Une aube affaiblie
Berce de doux chants
Mon cœur qui s'oublie
Aux soleils couchants.
Et d'étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants sur les grèves,
Fantômes vermeils,
Défilent sans trêves,
Défilent, pareils
À de grands soleils
Couchants sur les grèves.
Vidéo
Poème de Verlaine lu :