Ah ! répétait le bonhomme,
Dans le vieux monde où nous sommes,
Matin et soir,
Il faut savoir
Par un refrain se mettre en train.
Sur ses ailes vives et folles
Soucis tout aussitôt s'envolent,
Et rien ne vaut,
Ancien, nouveau,
Un air joyeux,
Pour rendre heureux jeunes et vieux.
Comme l'oiseau qui chante sa saison,
Jeunes, chantez, égayez la maison !
Chantez, chantez !
Que sur vos pas fleurissent les chansons !
Dans les jours gris, dans les beaux jours,
Chantez, chantez, chantez toujours,
Youhé ! Youhé ! Youhé !
Chantez toujours !