Voici la chanson préface, fidèlement recopiée du livre de Paul Olivier, Les chansons de métiers. D'abord, l'avant-propos commence par ces mots :
« Un avant-propos ? Est-ce donc nécessaire ? Voilà le marchand de chansons qui passe... Qu'importe d'où il vient, et qu'importe où il va, et qu'importe au besoin d'où viennent ses chansons, pourvu qu'elles soient jolies ! Permettez cependant qu'en honnête marchand qui connaît les usages, il vous tire, mesdames, son humble révérence. Car c'est pour vous, surtout, pour ranimer leurs roses pâles et débiles aux roses vivifiantes et pourpres de vos lèvres, que furent, en bouquet, assemblées ces chansons. Elles furent cueillies, au reste, dans l'enchantement et dans la joie. »