Nina, ma charmante,
Pendant la tourmante,
Lamer écumante,
Grondait à nos yeux ;
Riante et fertile,
La plage tranquille,
Nous montrait l'asile,
Qu'appelaient nos vœux !
Toi, c'est toi oui toujours toi
Que je revois sans cesse,
Dans tes bras, je sens l'moi
Troublant de tes caresses,
Et ta lèvre exquise
Au parfum qui grise,
Murmure pour moi
Les mots d'amour que je redis pour toi.