Paroles
Lorsque je vins m'asseoir au festin de la vie,
Quand on passa la coupe au convive nouveau,
J'ignorais le dégoût dont l'ivresse est suivie,
Et le poids d'une chaîne à son dernier anneau.
Et pourtant, je savais que les flambeaux des fêtes,
Éteints ou consumés, s'éclipsent tour-à-tour,
Et je voyais les fleurs qui tombaient de nos têtes,
Montrer en s'effeuillant leur vieillesse d'un jour.