Paroles
C'était un ménage d'ouvriers, honnètes
Qui vivaient heureux, tout en travaillant,
La femme était jeune mais un peu coquette
France cependant et l'esprit vaillant
Quand l'homme dut partir servir sa patrie,
Adieu, lui dit-elle, le coeur angoissé
Ben quoi ! que crains-tu, Germaine chérie
Que peut-être un jour, je revienne blessé ?
Ces blessures là sont peu graves,
Il nous faut aller de l'avant
En France, il n'y a que des braves !
Que donnent leur sang vaillament
C'est la guerre qui les impose
Mais en somme c'est de l'honneur
J'les préfère aux douleurs que causent
Les blessures faîtes au coeur.