Adieu ! le flot jaloux m’entraîne !
Adieu, la rive du pays !
Libeth, je 'aperçois à peine me tendre encore tes bras chéris.
Sans toi, je peux braver l'orage,
Souvent la mort n'est qu'un jeu pour moi.
J'aurai bientôt perdu courage,
Mon faible cœur connaîtrait l'effroi, tremblant pour toi
[...]